8 juillet 2025

Republik Workplace_L’ADI reconduit le mandat de Frédéric Goupil de Bouillé à sa présidence

8 juillet 2025 | Presse

En mai dernier, l’Association des Directeurs Immobiliers (ADI) a tenu son assemblée générale et a renouvelé son conseil d’administration en mai dernier. Ce nouveau CA vient de reconduire Frédéric Goupil de Bouillé comme président, fonction qu’il occupe depuis 2022.

Organisation professionnelle représentative, l’Association des Directeurs Immobiliers (ADI) regroupe plus de 400 adhérents et 270 entreprises, dont 40 % font partie du SBF 120 et 60 % du CAC 40. L’ADI consolide 322 millions de mètres carrés répartis sur 267 000 implantations, dont 26,2 % de bureaux.

Le 22 mai dernier, l’assemblée générale a été l’occasion de renouvelé les 19 membres du conseil d’administration. Ce CA a choisi de reconduire Frédéric Goupil de Bouillé à la présidence de l’ADI. Le reste de la composition du Bureau, organe dirigeant de l’association, comprend Jérôme Arnaud (Alstom) comme secrétaire général, Olivier Maigron (Sanofi) en tant que trésorier, ainsi que les vice-présidents Xavier Fécamp (Hermès), Pauline Koch (Sitowie) et Gaëlle Salaün (EDF).

En outre, Frédéric Goupil de Bouillé, dans la lignée de ses prédécesseurs, a demandé à Gilles Allard, président d’honneur, de maintenir son implication au sein du Bureau.

©Jean-Philippe Moulet - ADI

Article rédigé par Alexandre Foatelli

L’ensemble du campus comprendra 10 bâtiments : 8 bâtiments adaptés aux activités, dites « tertiaires » incluant une partie de la R&D et 2 bâtiments dédiés aux moyens d’essais, aux ateliers et aux différents laboratoires de Recherche & Développement. Avec la transformation de ce site, historiquement industriel, Stellantis a également voulu créer 20 000 m² d’espaces verts en pleine terre favorisant la biodiversité, la connexion à la nature et à l’environnement immédiat du bord de seine, et contribuant au bien‐être des salariés.

Espace cafétéria d’un immeuble dédié aux activités R&D.

Plusieurs défis ont été relevés : le premier concerne le délai avec un calendrier très ambitieux entre la décision en juillet 2021, les différents permis de démolir et de construire obtenus en août 2022 et la date d’entrée dans les lieux prévue à partir de cet été avec le redémarrage des 1ers moyens d’essais. Le deuxième défi concerne les contraintes environnementales, extrêmement exigeantes. Il a fallu également intervenir sur l’existant, « tailler », à proprement parler, le bâtiment, afin de créer ce nouveau site distinct de l’usine mais aussi, pour créer des nouveaux espaces plus ouverts, plus fonctionnels, plus cohérents de l’expérience sur site de demain. Ces opérations assez lourdes ont dû avoir lieu tout en maintenant l’activité de l’atelier d’emboutissage attenant. Enfin, et du fait du planning très serré, la réhabilitation, la construction des nouveaux bâtiments et l’implantation physiques des moyens d’essais ont été menés de front et dans le même calendrier .

L’ensemble du campus comprendra 10 bâtiments : 8 bâtiments adaptés aux activités, dites « tertiaires » incluant une partie de la R&D et 2 bâtiments dédiés aux moyens d’essais, aux ateliers et aux différents laboratoires de Recherche & Développement. Avec la transformation de ce site, historiquement industriel, Stellantis a également voulu créer 20 000 m² d’espaces verts en pleine terre favorisant la biodiversité, la connexion à la nature et à l’environnement immédiat du bord de seine, et contribuant au bien‐être des salariés.

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