23 novembre 2016

L’ADI : 20 ans au service de la promotion du directeur immobilier

23 novembre 2016 | Communiqués ADI, Presse

Créée en 1996 pour porter les messages d’une fonction émergente, l’Association des Directeurs Immobiliers a réussi son pari et s’impose, à 20 ans, comme une organisation professionnelle de référence et un interlocuteur incontesté des décideurs publics et économiques.

De l’émergence d’une fonction à la reconnaissance d’un métier créateur de valeur

Depuis sa création en 1996, l’association s’est attachée à suivre la même ligne de conduite : accompagner les directeurs immobiliers et porter dans les débats publics les enjeux de toute la profession. Aujourd’hui, par un travail d’influence et de conviction, le management immobilier a investi les organisations de l’entreprise pour relever des enjeux aussi multiples que transverses, même si la rationalisation liée aux enjeux financiers que représente l’immobilier pour l’entreprise constitue son socle de légitimité. S’émancipant de ses origines naturellement techniques inhérentes à l’exploitation des sites, l’immobilier des entreprises est désormais reconnu comme une donnée intégrée de performance et de création de valeur. Plusieurs tendances de fond, observées dans une étude menée par l’ADI, viennent confirmer cette évolution. 64% des directions immobilières externalisent désormais le facility management pour concentrer leur expertise sur le pilotage stratégique de l’immobilier. Et, en 20 ans, l’évolution du positionnement hiérarchique – avec un taux de rattachement des directeurs immobilier au top management constaté aujourd’hui à 80% –  permet d’assurer un fort alignement de la stratégie immobilière avec celle de l’entreprise et souligne le rôle fondamental que joue l’immobilier dans la mise en œuvre de sa stratégie. L’expertise immobilière et la polycompétence des directeurs immobiliers font de ces professionnels, des acteurs reconnus de l’entreprise dont l’activité est au cœur des nouveaux enjeux que doivent relever les organisations dans un contexte en forte mutation. Disposant de leviers sur la performance environnementale, la transformation managériale et la construction de l’environnement urbain, ils font ainsi face à l’urgence écologique, la digitalisation de l’économie et l’avènement de la société des urbains.

L’ADI : accompagner, influencer et anticiper

Une telle émergence de la fonction n’aurait pu se produire si rapidement sans l’action de l’ADI, la conviction et l’engagement de ses administrateurs, l’investissement des commissions et groupes de travail. Cette convergence d’énergies a permis de sérier les expertises, affiner les savoir-faire, anticiper les besoins et produire une réflexion prospective au service de l’ensemble de l’ingénierie immobilière. Véritable lanceur d’alertes, l’ADI, initie tous les ans plus de 50 débats de place et édite près de 20 publications. Avec sa force représentative de près de 350 millions de m² qui fait d’elle un interlocuteur incontournable des décideurs publics et économiques, l’ADI touche, à 20 ans, à son ambition de faire émerger le directeur immobilier comme un véritable connecteur des différents métiers internes et externes à l’entreprise en prise avec la société.

 

L’ensemble du campus comprendra 10 bâtiments : 8 bâtiments adaptés aux activités, dites « tertiaires » incluant une partie de la R&D et 2 bâtiments dédiés aux moyens d’essais, aux ateliers et aux différents laboratoires de Recherche & Développement. Avec la transformation de ce site, historiquement industriel, Stellantis a également voulu créer 20 000 m² d’espaces verts en pleine terre favorisant la biodiversité, la connexion à la nature et à l’environnement immédiat du bord de seine, et contribuant au bien‐être des salariés.

Espace cafétéria d’un immeuble dédié aux activités R&D.

Plusieurs défis ont été relevés : le premier concerne le délai avec un calendrier très ambitieux entre la décision en juillet 2021, les différents permis de démolir et de construire obtenus en août 2022 et la date d’entrée dans les lieux prévue à partir de cet été avec le redémarrage des 1ers moyens d’essais. Le deuxième défi concerne les contraintes environnementales, extrêmement exigeantes. Il a fallu également intervenir sur l’existant, « tailler », à proprement parler, le bâtiment, afin de créer ce nouveau site distinct de l’usine mais aussi, pour créer des nouveaux espaces plus ouverts, plus fonctionnels, plus cohérents de l’expérience sur site de demain. Ces opérations assez lourdes ont dû avoir lieu tout en maintenant l’activité de l’atelier d’emboutissage attenant. Enfin, et du fait du planning très serré, la réhabilitation, la construction des nouveaux bâtiments et l’implantation physiques des moyens d’essais ont été menés de front et dans le même calendrier .

L’ensemble du campus comprendra 10 bâtiments : 8 bâtiments adaptés aux activités, dites « tertiaires » incluant une partie de la R&D et 2 bâtiments dédiés aux moyens d’essais, aux ateliers et aux différents laboratoires de Recherche & Développement. Avec la transformation de ce site, historiquement industriel, Stellantis a également voulu créer 20 000 m² d’espaces verts en pleine terre favorisant la biodiversité, la connexion à la nature et à l’environnement immédiat du bord de seine, et contribuant au bien‐être des salariés.

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