Livret 14 de l’ADI intitulé “Bureaux : ce que veulent (vraiment) les directeurs immobiliers”. Ce guide pratique explique en détails pourquoi aujourd’hui, certains immeubles ne répondent plus aux attentes des entreprises et quels sont les préconisations de l’ADI pour y remédier.
Plusieurs aspects techniques y sont abordés à destination des propriétaires, concepteurs, développeurs, constructeurs… qui mal appréhendés, sont de réels freins à la prise à bail.
CVC, Acoustique, Performance énergétique, Aménagements intérieurs…
Alors qu’un peu plus de 10% des surfaces de bureaux* sont vacantes en Ile-de-France, il y a urgence à remettre les immeubles tertiaires aux normes actuelles : celles qui permettent de répondre à la modularité recherchée par les entreprises, avec notamment, le déploiement du flex-office.
C’est dans cet esprit que l’Association des Directeurs Immobiliers publie un guide pratique, intitulé « Bureaux : ce que veulent (vraiment) les Directeurs Immobiliers » qui pointe les lots techniques des immeubles – CVC, Acoustique, mais aussi Performance environnementale, Aménagements intérieurs… – qui, mal appréhendés, entravent la prise à bail.
« Ce guide, que nous avons volontairement conçu pour être facile à prendre en main, est destiné à tous : aux directeurs et responsables de l’immobilier des entreprises privées et entités publiques en quête de bonnes pratiques, mais aussi aux investisseurs, promoteurs, architectes, constructeurs, ingénieristes… qui interviennent dans le cycle de construction ou de restructuration d’un actif », pose Juliette Borie, directrice de l’immobilier du Groupe Renault, et co-présidente de la commission Tertiaire de l’ADI.
Les mÊmes attentes dans toutes les entreprises
« Réunis en commission, les 15 adhérents, dont les équipes gèrent près de 12 millions de m² en France, ont constaté qu’ils avaient globalement tous les mêmes attentes, sans pour autant que le marché y réponde toujours, rappelle Sabine Brunel, Directrice de l’immobilier d’Axa France et co-présidente de la commission tertiaire de l’ADI. La série de préconisations techniques, architecturales et servicielles permet donc de prendre en compte les besoins des clients finaux ».
* 5,642 millions de m² vacants selon Immostat / 55,47 millions de m² de surface utile selon l’ORIE.

« Ces préconisations relèvent, sinon d’une stratégie écologique et bas carbone, d’une certaine logique économique. Certaines sont de bon sens, d’autres impliquent des éléments techniques plus pointus. Ce guide permettra aux propriétaires ouverts aux réflexions sur leurs immeubles de mieux anticiper les évolutions futures »